Critique du film J'veux pas que tu t'en ailles (6 / 10)
MARIEE MAIS PAS TROP
L’inabouti On va s’aimer, avec déjà Julien Boisselier, faisait bonne place aux quiproquos.
Avec J’veux pas que tu t’en ailles, Bernard Jeanjean enfonce le clou, avec son lot de scènes mêlant situations abracadabrantesques, savant mélange du Dîner de cons de Francis Veber et des oeuvres de Woody Allen. Quelques rares situations et quiproquos se révèlent croustillants, mais globalement le long-métrage manque de rythme. La faute à des scènes de dialogues trop longues (près de 7 minutes).
Par zoom-Cinema.fr le 25 avril 2007.
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